Porteurs et porteuses de projets
La liste Libertés et Justice sociale était composée de 29 candidats et candidates issus de tous milieux, qui ont fait campagne ensemble pour les élections cantonales 2023 afin de défendre des projets citoyens pour Genève. 10 d'entre eux ont été élu.e.s au Parlement. Les autres continuent à s'engager dans le mouvement.
Pierre Maudet
Marié et père de trois enfants, j’ai fait mes études à Genève et obtenu une Maîtrise en droit à l'Université de Fribourg. Investi depuis toujours dans la Cité, j’ai participé à la création le Parlement des Jeunes à Genève, puis j’ai poursuivi mon engagement en effectuant mon service militaire dans les troupes d'aide en cas de catastrophe, jusqu’au grade de capitaine. Actuellement, je travaille dans l’entreprise WISeKey SA comme directeur de la transformation numérique.
Sur le plan politique, j’ai présidé le Parti radical genevois, de 2005 à 2007. Élu au niveau municipal en 1999, j’ai intégré l'Exécutif municipal en 2007 et suis devenu maire de la Ville de Genève en 2011. J’ai ensuite été élu au Conseil d'État en juin 2012 et été réélu en 2013, puis en 2018 ; année durant laquelle j’ai été choisi par mes pairs pour présider le Gouvernement de la République et canton de Genève. Non réélu en 2021, j’ai quitté mes fonctions de conseiller d'État chargé du Département du développement économique (DDE).
Soucieux de continuer mon engagement au service de la collectivité, j’ai monté, début 2021, la Fondation PALM qui vise à promouvoir des projets citoyens tout en développant des réflexions initiées en son sein ou développées en parallèle avec les milieux économiques ou associatifs.
Aujourd’hui, c’est porté par tous les Genevois et Genevoises rencontrés ces deux dernières années et lors des permanences, que je me lance à nouveau en politique.
Masha Alimi
Je suis arrivée à Genève en 1980 pour effectuer mes études à l'École d'Ingénieur de Genève où j’ai obtenu mon diplôme en 1984. J’ai deux fils, Frédéric patron d'une PME, et Alexandre qui a récemment obtenu son brevet d'avocat.
Tout au long de ma carrière professionnelle, j’ai suivi des formations continues et obtenu, notamment, un CAS en contrôle de gestion et un autre en leadership. J'ai occupé des postes à responsabilité dans l'administration publique et parapublique pendant plus de 15 ans avec un seul objectif : améliorer le fonctionnement des entités que je dirigeais pour un service efficient destiné à la population.
Je suis conseillère municipale indépendante à Thônex et candidate au Grand Conseil toujours dans l’objectif de contribuer au bien-être du citoyen. Ce qui me tient à cœur particulièrement aujourd’hui c’est de mener des actions concrètes pour faciliter les démarches administratives du citoyen, favoriser les PME locales à accéder aux marchés des collectivités publiques et promouvoir et faciliter la réinsertion des personnes de 50 ans et plus dans le monde du travail.
Stefan Balaban
Né à Vernier, j'ai grandi à Genève, canton dans lequel j'ai effectué toute ma scolarité. En parallèle à mes études universitaires, j’ai démarré une activité entrepreneuriale dans le conseil et la gestion d’entreprises. Actuellement, je suis directeur d'une fiduciaire basée à Genève et directeur financier d'un institut actif dans l'environnement et l'énergie.
En conseillant les particuliers et les entreprises de notre canton, mon désir de participer à la vie de la Cité a renforcé ma passion pour la politique. Les crises simultanées qui s’enchaînent m’ont fait prendre conscience de la nécessité d’agir concrètement pour l’amélioration de la chose publique.
Aujourd’hui, par ma volonté de servir, je me suis engagé dans le mouvement Libertés et Justice sociale pour faire avancer Genève.
Giuseppa Bozzi
Née en Sicile, je suis arrivée en Suisse en 1974. Sûr d’avoir son permis C, mon père nous a fait venir en Suisse. Mon petit frère souffrait d’un handicap mental. Mais les choses ne se sont malheureusement pas passsées comme nous l’avions prévu. Nous avons été forcés de rester à la maison pendant plus d’une année, cachés de peur qu’on nous renvoie en Italie. Plusieurs fois obligés de traverser les balcons pour nous cacher chez un voisin qui avait été dans la même situation au noir.
Nous avons finalement résolu nos problèmes : mon frère Sandro a pu aller à l’école de Pinchat, ma maman devenir blanchisseuse, mon papa travailler à l’Aéroport et moi dans un salon de coiffure. J’ai poursuivi par 3 années de coiffure chez Sylvano, puis volé de mes propres ailes dans mon salon à la rue des Buis. Depuis 37 ans, j’officie avec bonheur dans mon salon de coiffure aux Pâquis.
Aujourd’hui, j’ai décidé de m’investir dans le mouvement parce que j’ai le sentiment qu’on enlève les libertés aux petits commerçants: il est donc temps de bouger avec des projets pour Genève !
Vincent Canonica
Né à Genève de parents entrepreneurs, j’ai 3 jeunes enfants de 5, 6 et 9 ans. J’ai suivi tout mon cursus scolaire à Genève. Je suis au bénéfice d'une maturité fédérale classique, d'une Licence en droit à l'Université de Genève et d’un certificat de cafetier obtenu dans le canton de Vaud. J'ai pris les rênes en 2001 de l'entreprise familiale qui exploite plusieurs points de vente à Genève Aéroport depuis 1948 et ai développé des activités complémentaires de restauration, chocolaterie, blanchisserie & hôtellerie en Suisse et à l'étranger. J'ai complété ma formation par un diplôme MBA à l'Université de Genève.
Je défends l’entrepreneuriat et la suppression des contraintes administratives pour faciliter le travail quotidien des entrepreneurs. Il y a un besoin de filières de formation dans l’artisanat des métiers de bouche pour retenir les talents en Suisse. Le développement de la reconversion professionnelle est essentiel pour que les gens qui exercent ces métiers très spécialisés, et où il y a peu de places, puissent se réorienter en cas de chômage.
Chantal Dubelly-Hatinguais
50 ans, mariée, 3 enfants, je suis titulaire d'un CFC d’employée de commerce et d'un diplôme de formatrice en entreprise. Actuellement en emploi à la Ville de Genève, ma carrière a débuté dans le privé puis dans l'administration publique. J’habite à Chancy, le village le plus à l’ouest de la Suisse (surnommé le Far West).
Sur le plan associatif, je suis membre fondatrice de l’Association Balkafesti ; organisatrice du Festival country Chancy ; ambassadrice de l'association Toit pour tous ; et bénévole de l’association Burkina, qui a créé une formation en agriculture biologique.
En 2015, je suis devenue conseillère municipale puis magistrate en 2020, sans étiquette partisane. Très impliquée sur les questions sociales, j’ai mis en place à Chancy des appartements pour les sans-abris, une cause qui me tient à cœur. Je souhaite continuer à défendre les questions sociales en lien avec les jeunes et les aînés. Mes principales valeurs sont le respect, la bienveillance et l’altruisme. Je suis à l'écoute de la population et je crois que c’est l'union de notre liste qui en fait sa force.
Monika Ducret
Née à Genève de parents suisses alémaniques, j'ai étudié la psychologie à l'Université de Genève. Après une Licence et un diplôme, décrocher un premier emploi dans mon domaine fut très difficile sans expérience professionnelle et c'est la société SGS qui m'a offert mon premier stage dans les RH, dont le terme en 1994 a coïncidé avec la naissance de mon premier fils. En 2000, j’ai entrepris une formation en thérapie de famille, puis de conseillère conjugale/thérapeute de couple.
Je travaille depuis vingt ans pour une association dont j'ai pris la codirection en 2015. Nous proposons des stages d'observation aux étudiants en psychologie, leur offrant ainsi une immersion dans notre pratique. Nous avons ouvert une antenne à Bernex en 2018. Depuis 2021, nous faisons des suivis de coparentalité pour les parents séparés.
Pendant le Covid, beaucoup de jeunes ont souffert ; la santé mentale doit être une thématique portée au niveau cantonal. Le mouvement Libertés et Justice sociale exprime mes valeurs profondes: l’État au service et à l’écoute des citoyens et surtout des plus vulnérables.
Etienne Dufour
Mécanicien électricien à Lausanne, j’obtiens le diplôme de technicien électricien à Genève avec mention très bien en 1953. Je pars à Baden et à Zürich durant trois ans où j’exerce en qualité d’ingénieur de développement en électronique, puis en tant que chef de groupe. Je deviens sous-chef du département électronique à la Société des Instruments de Physique (SIP). Parallèlement, je mène des études de mathématiques à l’Université de Genève.
En 1960, j’entre au parti radical et crée à Lausanne le premier Technicum du soir de Suisse romande, où j’enseignerai 10 ans.
Ingénieur électricien à Zurich en 1962, je suis admis en 1963 à la Société Suisse des Ingénieurs et Architectes. Professeur d'électronique en 1962 et je suis chargé de la formation pédagogique des ingénieurs à l’École d'Ingénieur de Genève, de 1967 jusqu’à ma retraite.
J'ai lancé à titre professionnel une demi journée par semaine un "Club" pour chercheurs d'emploi et ai formé des animateurs pour prendre ma succession. En 2016, je fonde avec quatre associés une société pour assurer la continuité des formations que j’ai créées.
Je rejoins le mouvement pour aider à promouvoir des formations professionnelles encore inexistantes.
Raphaël Dunand
Habitant de Soral, j'ai 40 ans, je suis marié et père de trois enfants. Après l'obtention d'un CFC de viticulteur à l'école de Marcelin, j'ai renforcé mes connaissances par un Brevet fédéral de caviste. Reprenant en 2010 le domaine viticole familial des Lolliets, j'ai développé en son sein la production de vin en culture biologique. Soucieux de mon outil de travail - la terre - j'ai cofondé le réseau agro-environnemental de la Champagne que je préside.
Étant actif dans la défense professionnelle, j'ai été président de l'Association genevoise des vignerons encaveurs indépendants (AGVEI), représentant de cette même association à l'interprofession de la vigne et du vin de Genève (IVVG) et représentant à VITISWISS Berne pour Genève. J'ai également siégé au Conseil de fondation de Genève terroir (OPAGE).
Dynamique et engagé, je suis investi dans ma commune en tant que conseiller municipal depuis 2020. Déterminé à défendre les PME, la mobilité, l'accès au logement et la formation de la jeunesse, c’est la raison pour laquelle j’ai rejoint le mouvement Libertés et Justice sociale.
Jean-Louis Fazio
D’origine italienne, naturalisé Suisse, j’ai fait ma scolarité à Meyrin et ai ensuite étudié à l’École d’Ingénieur de Genève.
A la suite de problèmes de santé surmontés avec succès aujourd’hui, j’ai passé un CFC et j’ai repris l’entreprise familiale de menuiserie en 1996. Établi aux Eaux-vives depuis plus de 25 ans, j’emploie trois ouvriers, une employée et un apprenti.
Conseiller municipal en Ville de Genève de 1998 à 2009 et député de 2009 à 2018, je participe bénévolement à des associations liées à la petite enfance, au social et aux activités de quartier.
J’ai rejoint la liste Libertés et Justice sociale, parce que j’aime son dynamisme, sa vision politique qui, entre autres, défend les PME et est très attentive au social.
Je militerai pour favoriser l’apprentissage des jeunes en évitant une bureaucratie qui souvent décourage l’employeur.
Florence Florenza-Decurtins
Maman de 6 enfants de 23 à 10 ans, je suis née à Genève et ai étudié à l’École hôtelière de Genève où j’ai passé mon Bachelor. J’ai également obtenu un Brevet de présidente en droit du travail. Après l’École hôtelière, j'ai voyagé plus de dix ans à l'étranger : deux ans en Allemagne comme serveuse, puis chef de service à Munich et pendant plus de de six ans au Don Alfonso, grand étoilé sur la côte sorrentine (Naples). J'ai également travaillé en consulting dans l’hôtellerie à Las Vegas, à Yokohama et à Bangok. En 1998, je suis revenue définitivement m’établir en Suisse pour reprendre l’hôtel et le restaurant familial à la rue de Montbrillant. J'ai fait mes certifications pour former les apprentis en hôtellerie.
Engagée à Emmaüs, j’ai participé à la création de la Maison du père Noël à Genève et suis active dans diverses associations du quartier des Grottes.
Mon engagement au sein du mouvement découle d’une volonté d’amener à Genève des projets concrets dans une approche de proximité et de solutions pratiques visant à simplifier la vie des citoyens et des entreprises.
Sandra Golay
Enfant issue d’une famille multiculturelle suisse-irlandaise-espagnole et multiconfessionnelle catholique et juive, avec des aïeux expatriés en Uruguay dans les années 1900, je suis née en 1963 à Montevideo. Notre famille est revenue en Suisse après mes 18 ans. Je suis mariée depuis plus de 25 ans et ai une fille de 23 ans.
Après un bac scientifique, j’ai suivi une formation comptable. Aujourd’hui, ma fiduciaire est active dans le conseil de gestion d’entreprise, la fiscalité et la gestion immobilière.
Au niveau associatif, je suis membre du Conseil de la Paroisse catholique de Sainte Clotilde à la Jonction et j’organise depuis quelques années de nombreuses actions caritatives locales et humanitaires à l’étranger.
Femme du centre, j’ai été conseillère municipale à Genève et députée au Grand Conseil (2013 à 2018), mais déçue par des promesses non tenues, j’ai quitté la politique.
Poussée par le contexte socio-économique actuel, j’ai décidé de me réengager, car la diversité des candidats et les valeurs du mouvement Libertés et Justice sociale m’ont redonné foi dans un avenir meilleur.
Alexandre Grünig
Né à Chêne-Bourg, j’ai vécu la majeure partie de mon enfance dans la commune de Satigny. Suite à une formation de quatre années à l’École de mécanique de Genève, j’ai effectué mon service militaire dans les forces aériennes et suis devenu spécialiste ABC (dangers atomiques, biologiques et chimiques).
A mon retour, j’ai travaillé durant trois ans dans la logistique de divers journaux comme La Suisse et la Tribune de Genève. Je suis ensuite parti étudier l’anglais durant plusieurs mois aux États-Unis. De retour en Suisse, j’ai repris l’entreprise familiale fondée par mon père en 1960. Aujourd’hui je suis mariée, père de deux enfants et cela fait 25 ans que je dirige l’entreprise.
J’ai rejoint le mouvement Libertés et Justice sociale, car je souhaite défendre les petites entreprises à Genève et les indépendants, acteurs essentiels du tissu économique genevois. Il est important de faciliter leurs démarches administratives et de les aider à engager des apprentis pour la pérennité des métiers.
Jacques Jeannerat
Homme de conviction, je suis persévérant et endurant, comme tout bon marathonien qui se respecte. Je siège au Conseil d’administration de l’Aéroport.
Je suis le Grand Maître (président) de l’Académie du Cep, la confrérie ambassadrice des vins de Genève. Je préside également l’association RouteGenève.
J’ai dirigé pendant quatorze ans la Chambre de commerce, d’industrie et des services, une association dont le but consiste à faciliter la vie des entreprises genevoises.
J’ai été journaliste au « Journal de Genève » pendant quatre ans et Secrétaire général des scouts de Genève de 1984 à 1991. Député au Grand Conseil de 2001 à 2013, j’ai décidé d’être à nouveau candidat pour l’élection du 2 avril 2023 sur la liste Libertés et Justice sociale.
C’est dans un esprit constructif, au sein d’une équipe nouvelle et dynamique, que je désire poursuivre mon action au service de Genève.
« Le plus difficile c'est de se décider à agir, le reste n'est que persévérance. » Amelia Earhart.
Christine Jeanneret
Issue d’une famille de forains depuis plusieurs générations, je vis en couple avec un forain et j’ai deux petites filles. J’ai fait mes écoles à Neuchâtel et Lausanne. CFC d'assistante médicale de formation, j’ai exercé quelques temps dans les ambulances à Genève. Je sillonne toute la Suisse tout au long de l’année avec mes carrousels sur diverses fêtes foraines.
Déléguée de la Société Suisse des Forains, siège à Berne et membre de l’Union des Forains de Genève, j’ai défendu la branche sur la Place Fédérale à Berne lors de la grande manifestation des forains, le 19 août 2020, pour un soutien aux entreprises dites « cas de rigueur » pendant la crise du COVID.
Je souhaite m’engager pour la défense des petites entreprises du divertissement et pour le retour de la convivialité dans les villes.
Maren Knief Clerc
Je suis entrepreneure genevoise et mère de deux enfants. Née en Allemagne en 1979, je suis arrivée en Suisse romande à l’âge de 19 ans pour ma formation à l’École Hôtelière de Lausanne (EHL) et je ne suis plus repartie. Après mes études à l’EHL et à l'Université de Cornell aux USA, j’ai occupé plusieurs postes à responsabilité dans le secteur privé. En tant que directrice opérationnelle, j’ai acquis une riche expérience dans les relations entre les entreprises et l’administration en Suisse.
En 2019, j’ai initié et cofondé la start-up durable mia&noa, qui propose une nouvelle expérience de café zéro déchet. L’objectif est d’inciter à consommer de manière plus responsable, en mettant la technologie au service de l’écologie. Je m’engage au quotidien dans l’écosystème entrepreneurial à Genève et en Suisse avec mes sujets de prédilection : la durabilité, l’entrepreneuriat et l'égalité des chances.
Julien Pala
J’ai grandi à Chêne-Bourg, je suis marié et père d’une famille recomposé de 4 enfants de 3 à 18 ans. J’ai toujours été attiré par le football, la montagne et le ski. J’ai fait mes études à l'École de Commerce de Malagnou et obtenu un CFC de vente/gestion. Je me suis également formé en management et communication. J’ai débuté dans un magasin de sports de la place et sur les pistes de ski en tant que moniteur, puis ai rejoint en 2005 une entreprise nationale dans la communication et la publicité au sein de laquelle je suis devenu chef régional.
Au niveau associatif, je suis président d'une école de ski genevoise, et siège dans diverses commissions sportives de niveau fédéral. J’ai créé divers projets à vocation sociale comme : "La journée de ski à 1frs" ou encore "WE SKI GENEVA", (piste de ski éphémère à Veyrier) pour que les enfants de tous milieux puissent avoir accès aux sports d’hiver.
Comme beaucoup de familles genevoises, nous avons dû quitter notre canton pour trouver un logement en France voisine. L’accessibilité au logement est un projet que je défendrai au Grand Conseil.
Enea Petraglio
Ce qui me fait sortir du lit tous les matins, c’est d’avoir l’opportunité́ de construire et partager des projets avec et pour les autres. J’aime investir mes énergies pour trouver des réponses concrètes aux besoins réels des citoyennes et des citoyens, au-delà de toute étiquette.
Ce qui me tient particulièrement à cœur, ce sont les projets qui touchent la formation, ceux qui luttent contre la discrimination en raison de l’âge, du genre ou de l’origine, ou bien ceux qui concernent la mobilité. Je tiens à ce que le canton de Genève devienne réellement un lieu de vie enviable, un exemple pour d'autres pays.
Dans le quotidien professionnel, j’accompagne les personnes qui le demandent à se sentir en harmonie et en confiance avec elles-mêmes, en leur proposant des sessions de coaching ; de plus, je mets ma casquette de formateur pour donner des cours de soutien aux apprenti.e.s qui fréquentent une fondation genevoise de soutien aux personnes connaissant des difficultés d’apprentissage.
Nicolas Pivin
Étant né et ayant grandi à Genève, je veux aujourd’hui contribuer à la prospérité et la qualité de vie de notre canton. Marié et père de deux jeunes enfants, je suis convaincu que nous devons apporter dès aujourd’hui des solutions immédiates, concrètes et mesurables pour accompagner les jeunes familles, notamment en termes de places en crèche et d’accès à des loyers abordables.
La prochaine législature doit être l’occasion de résoudre ces problématiques qui nous concernent toutes et tous, au-delà des attaches partisanes et sans entrer dans un clivage locataires contre propriétaires.
Mon expérience professionnelle, mon esprit d’ouverture et ma capacité d’écoute seront autant d’atouts pour la construction de solutions optimales pour toutes les parties prenantes, et au bénéfice de Genève.
Rosa Rodrigues
Restauratrice depuis 20 ans à la rue de Carouge, je suis mariée et ai un fils de 20 ans. Je suis arrivée à Genève en 1991 pour garder le fils de ma sœur. J’ai d’abord travaillé pendant plusieurs années dans une maison privée comme jeune fille au pair, puis j’ai travaillé à la cafétéria de l’OMC pendant six ans. J’ai ensuite pu monter mon restaurant avec mon mari en 2002. En 2013, j’ai fait la formation de cafetier restaurateur.
Les problèmes administratifs sont lourds et pour gérer le stress de mon métier, je fais régulièrement de la boxe. Les restaurateurs ont été très touchés pendant le COVID et peu écoutés, c’est la raison pour laquelle je souhaite porter la voix des restaurateurs au Grand Conseil.
Je veux aussi défendre l’emploi des jeunes et l’apprentissage. C’est extrêmement difficile de recruter dans la cuisine, car la profession est peu valorisée.
Mon restaurant de quartier est populaire, ouvert et a un rôle social essentiel, on reçoit beaucoup de personnes âgées, mais aussi des jeunes et des gens qui font des repas de famille le dimanche à midi.
Frédéric Saenger
Diplômé de l’École Hôtelière de Lausanne, j’ai occupé divers postes à responsabilités dans le domaine du management, de la culture et du divertissement, par exemple comme directeur adjoint de l’Hôtel Astoria. J’écris régulièrement des articles et interviews pour le Daily Rock, magazine suisse de musique. De 2007 à 2021, j’ai codirigé le label discographique indépendant La Belle Chic. J’ai également travaillé pour une galerie d’art où j’avais notamment comme mission la réinsertion de chômeurs de longue durée. Je suis ensuite parti trois ans en Indonésie pour créer une plateforme multimédia, Baliradio.net dont j’ai assuré le développement commercial et artistique.
En 2017, le Festival Vernier sur Rock m’a proposé de rejoindre son comité. Depuis 2020, j’en suis son président. Parallèlement, je fus consultant indépendant pour des restaurateurs en difficulté.
Homme d'aventures et de défis, j'ai repris Le Rameau d'Or, une librairie genevoise patrimoniale, pour éviter sa fermeture en novembre 2019. Aujourd'hui, je m’engage à défendre une culture accessible à toutes et tous.
Djawed Sangdel
Originaire de la commune de Vernier, je suis Professeur et chercheur en Leadership et Entrepreneuriat. Marié et père de quatre enfants, je parle couramment sept langues et j’ai voyagé dans une centaine de pays. Actuellement, j’exerce la fonction de Directeur général de SWISS UMEF, une institution d’enseignement supérieure établie à Genève depuis 1984, officiellement accréditée par le Conseil Suisse d'Accréditation, en tant qu'institut universitaire de Sciences Appliquées. Docteur en Sciences de gestion de l'Université Jean Moulin Lyon 3 en France, j’organise à l’UMEF de nombreuses formations avec des intervenants internationaux tels que des Prix Nobel, des chefs d'État, des ministres ou encore des penseurs du monde académique.
J’ai toujours eu à cœur de faire connaître et présenter les valeurs et la culture suisse. Grand défenseur de la Genève internationale, j’œuvre pour une Genève ouverte sur le monde, progressiste et innovante. C’est dans cette optique que j’ai rejoint la liste Libertés et Justice sociale et souhaite mettre mes compétences au profit des citoyens de notre canton.
Marc Saudan
Mon engagement vient de mon souci de laisser à mes trois enfants (Sébastien 31 ans, avocat; Anouk 22 ans, étudiante à l’Ecole hôtelière de Lausanne et Damien 21 ans, étudiant en droit à Fribourg) une société où chacun trouve sa place. L’accès à la formation pour les jeunes est important tout comme leur insertion dans le monde du travail.
Étant médecin, chirurgien orthopédiste, et travaillant à la Clinique de La Colline, je suis préoccupé par le système de santé qui montre ses limites, notamment quant à la transparence des coûts, que les caisses maladies ont de la peine à garantir. Le projet d’une caisse cantonale publique permettra d’y remédier et de maîtriser la hausse incessante des primes qui devraient payer uniquement les coûts médicaux.
A 57 ans, à la suite de ma mère Françoise Saudan, puis de mon frère Patrick, il est temps pour moi de donner du temps à la collectivité en m’engageant en politique. C’est la raison pour laquelle, j’ai rejoint le mouvement Libertés et Justice sociale, dont la justice sociale est l’un des thèmes majeurs.
Evan Schleret
Né à Genève, après un CFC d’informaticien d’entreprise en formation duale à l’État de Genève, j’ai décidé de poursuivre mes études en intégrant la Haute École de Gestion (HEG-Genève) qui forme les spécialistes en informatique de gestion pour répondre aux besoins des entreprises et des administrations dans une logique métier.
Diplômé informaticien d'entreprise avec certificat, j’ai cofondé, avec mon meilleur ami, Innovity Sàrl pendant mes études de Bachelor d'informaticien de gestion à la HEG.
Passionné par l’entrepreneuriat et la politique depuis tout jeune, j’aimerais mettre au profit d'une majorité de la population mon intérêt marqué pour des sujets de société et donner aux gens de ma génération l’envie de s’impliquer. Il est important que les pouvoirs publics soutiennent concrètement les jeunes qui veulent entreprendre et lancer leur entreprise.
Charles Selleger
Né à Genève, j'y effectue mes études jusqu'à obtention du diplôme de médecin. Ma formation postgraduée a été couronnée de deux titres de spécialité FMH, en médecine interne et en cardiologie. Après 10 années aux HUG, dont trois ans en qualité de chef de clinique, j'ai pratiqué en cabinet privé, au Grand-Saconnex, pendant plus de trente ans.
Entré au Grand Conseil en 2007, j'y ai siégé constamment, sauf pendant une année, en 2013-2014. J'ai eu l'occasion d'y déposer plusieurs résolutions, motions et projets de loi, concernant notamment les réserves des caisses maladie, la santé ou la petite enfance. J’ai été l’auteur de nombreux rapports et questions écrites au gouvernement.
J’espère poursuivre mon activité parlementaire et conduire à terme mes travaux, notamment la motion en cours d’examen demandant le gel des rétributions des directions d’établissements autonomes de droit public pour que les Genevois et les Genevoises puissent connaître en toute transparence quelles sont les salaires pratiqués dans ces établissements publics.
Julia Sergio
Née à Genève, j’ai grandi à Meyrin, une commune que j’affectionne particulièrement pour sa diversité culturelle.
La politique est venue à moi sans que je le veuille vraiment, mais pas par hasard. Depuis mon plus jeune âge, je suis révoltée face aux injustices. Mais, surtout, je souhaite donner une voix aux jeunes. C’est pourquoi à 16 ans, j’ai choisi comme projet de validation pour mon diplôme d’employée de commerce un projet visant à promouvoir le vote des jeunes et l’exercice de leurs droits politiques. Pendant plusieurs semaines, j'ai sillonné les écoles du secondaire II entourée de jeunes qui, comme moi, souhaitaient s’impliquer pour la jeunesse.
Aujourd’hui, à l'âge de 25 ans, j’ai une volonté profonde de m’engager pour Genève avec le mouvement Libertés et Justice sociale qui est représenté par des candidats provenant de tous horizons et dont l’objectif commun est de faire avancer Genève avec et pour les citoyennes et citoyens de notre canton.
Laurent Seydoux
Ingénieur de formation, c’est durant ma Licence en Sciences économiques et sociales que j’ai créé mon entreprise informatique Lysoft SA en 1989. Aujourd’hui, active sur le plan européen, Lysoft développe depuis 30 ans des solutions informatiques dans les domaines de la gestion médicale, administrative et associative. Convaincu que la formation continue est essentielle, j’ai suivi une formation en développement social local à Sciences Po Paris ainsi qu’en gestion des affaires publiques. Je siège à l’Association de la Zone Industrielle de PLO.
Sur le plan politique, j’ai fondé les Ver'libéraux à Genève, puis en ai pris la vice-présidence au niveau national. Élu à l’exécutif de Plan-les-Ouates en 2003, j’ai été maire 2004 et 2008.
Actif sur le plan associatif et sportif, je suis vice-président de l’Association Genevoise d’Athlétisme.
Persuadé que l’innovation n’est pas que technologique, j’ai créé le Laboratoire d'innovation Sociale (LYS). Je suis directeur de la Fondation Autrefois Genève pour faire connaître le patrimoine audiovisuel à toutes les générations.
Rebecca Stevens Alder
Naturalisée Suissesse, je vis à Genève depuis l’âge de 9 ans. Mes parents sont originaires de Sierra Leone. J’ai grandi à Versoix et j’habite à Veyrier. Mariée, j’ai deux enfants, Nathan, 21 ans, et Aurélie, 17 ans. J’ai fait mes études universitaires en sociologie et en communication à York University à Toronto de 1990-1993. De retour à Genève en 1994, j’ai travaillé dans l’horlogerie avant de rejoindre le World Economic Forum (WEF), Dupont de Nemours, puis Novartis, un des fleurons de l’industrie pharmaceutique suisse.
Je travaille actuellement chez Sanofi où je m’occupe des programmes d’accès à la santé afin que des populations à faibles revenus dans les pays pauvres puissent avoir accès aux médicaments.
J’ai énormément voyagé, mais Genève, de par sa grande diversité, reste l’endroit au monde où je me sens la plus heureuse et le plus chez moi. J’aime profondément cette ville et je souhaite y apporter ma contribution afin de la faire avancer et de relever les défis du futur. Les questions sociales et la lutte contre les discriminations me tiennent particulièrement à cœur.
Francisco Taboada
Papa de 3 enfants, binational Espagnol et Suisse, je suis originaire de Lancy, où j’ai siégé au Conseil municipal. J’ai subi à l’âge de deux ans un grave accident ménager, qui après six greffes de cornée, m’a privé de la vue. J’ai fait des études supérieures de piano au Conservatoire de Lausanne et à l’École de Jazz et Musique Actuelle au sein de laquelle j’ai enseigné. Sportif paralympique, j’ai participé aux JO de Sydney 2000.
J’ai fondé ma première entreprise en 2003 tout en suivant des études supérieures dans le domaine de l’économie et du management, notamment au CEFCO.
Au niveau associatif et politique, j’ai été vice-président du Téléthon Genève de 2013 à 2017. De 2013 à 2021, j’ai siégé au Conseil d’administration du Fonds Cantonal de Compensation de l’Assurance Maternité ; et depuis 2015, je suis vice-président du Club des 100 du Servette FC.
Aujourd’hui, je prépare les Jeux Paralympiques de Paris 2024, tout en exerçant divers mandats professionnels. Et je reste très engagé sur les questions du sport et de l’accessibilité aux personnes en situation de handicap.